Dimanche 10 décembre de 17h à 19h 30 : 110 personnes ont participé à la rencontre organisée par le Mouvement de la Paix, la LDH, le CCFD, la Maison internationale de Rennes (MIR).
Après quatre interventions des organisateurs sur les convergences entre luttes pour tous les droits humains et luttes pour le droit des humains à vivre en paix, les quatre invités-es ont fait des interventions argumentées et documentées et ont répondu, via zoom, aux questions posées par les étudiants-es qui sont en stage actuellement au Comité de Rennes du Mouvement de la Paix et à la Maison internationale de Rennes, puis aux questions et interventions du Public, dans un débat interactif avec tous les intervenants.
Un enregistrement filmé a été fait.
Réaction d’un journaliste présent reçu par mail, « la soirée était très riche, les interventions étaient pertinentes et mettaient en perspective la multitude d’actions qui existent un peu partout et convergent vers un but commun : la paix. Même si Gaza est omniprésente dans les préoccupations à cause de la tragédie qui s’abat sur les populations innocentes, l’intérêt de ce type de rencontres est universel ».
Une participante par mail : « Je ne sais pas comment nous allons faire, nous les humains. Mais l’énergie est là et, tu as raison, nous sommes très nombreux… A bientôt. ».
Un militant du comité : « j’ai eu aussi des commentaires très sympathiques à l’issue de cette belle soirée, à suivre donc ».
Manifestation du samedi 9 décembre :
Cinq personnes ont donné leur adresse pour participer à nos activités, une étudiante a demandé à venir en stage au sein du comité durant tout le mois de janvier. Tout le monde est reparti avec de la documentation. Le samedi après midi nous étions 700 à participer à la manifestation unitaire pour demander le cessez le feu à Gaza.
Pendant le témoignage du fils de Nurit Peled, celui-ci a dû interrompre son témoignage par visioconférence en raison de l’arrestation de sa mère par la police israélienne.
Retrouvez un portrait de Nurit Peled sur cette page.
Pendant les jours suivants la banderole du Comité « droits humains pour bâtir la paix » a été collée sur le mur de l’immeuble où se trouve le siège du comité.
