Dans des conditions totalement nouvelles
Du 21 au 26 septembre donnons tous ensemble, une nouvelle impulsion à la paix, au désarmement nucléaire et au climat, à la justice sociale et aux droits humains
Depuis le 21 septembre dernier ont encore eu lieu trop de destructions, trop de victimes, trop de migrations forcées, trop de conséquences terribles du dérèglement climatique.
La pandémie qui n’est pas encore vaincue frappe des populations entières avec des conséquences incalculables.
Et les dépenses militaires, l’accumulation d’armes nouvelles et coûteuses sont de plus en plus insoutenables et mettent en péril la vie sur terre.
Pourtant, les vingt ans de guerre en Afghanistan ont montré l’inutilité des solutions guerrières, beaucoup de milliards dépensés, aucun problème résolu, au contraire.
L’affaire des ventes de sous-marins à l’Australie et la révélation de la crainte du chef d’État-major des armées des USA d’une possible intention de Donald Trump d’utiliser les armes nucléaires soulignent la nécessité d’être vigilant et d’agir pour la paix et le désarmement.
Ces politiques vont à l’encontre de l’aspiration des peuples à la paix. Cette volonté s’est exprimée lors du vote le 7 juillet 2017 du Traité sur l’Interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) qui est entré en vigueur le 22 janvier de cette année.
Dans de nombreux pays, les populations vont répondre à l’appel de l’ONU pour préserver le droit à la paix et multiplier les activités d’éducation et de sensibilisation, pour éduquer à la paix. Dans d’autres pays comme en Angleterre, Écosse, Pays de Galles, USA, Japon, des actions publiques sont entreprises le 26 septembre à l’occasion de la Journée internationale de l’ONU pour l’élimination totale des armes nucléaires.
En France, dans une soixantaine de villes, pendant la semaine du 21 au 26 septembre auront lieu dans les villes, les écoles et les universités, des initiatives variées d’éducation.
En outre, une centaine d’initiatives sont déjà annoncées le 25 septembre à l’appel du collectif des marches de la paix créé en 2015 suite aux attentats du 13 novembre et fort maintenant de 191 organisations avec cette année la participation de deux nouveaux collectifs, « la démocratie ouverte » et le collectif « Unis pour le climat ».
Une convergence remarquable « Pour la Paix, le désarmement nucléaire et le climat, pour la justice sociale et les droits humains ».
Partout, dans les villes mais aussi dans les communes rurales, des initiatives les plus diverses seront prises et réalisées pour ces objectifs. La semaine du 21 au 26 septembre sera aussi un moment utile pour exiger non seulement la ratification du TIAN par tous les États dont la France, mais aussi notre soutien aux femmes et aux progressistes afghans et de dire notre condamnation du commerce des armes dont l’épisode australien montre la nocivité pour la paix.
Il faut investir pour une économie de paix et pour assurer la sécurité économique, climatique, sanitaire des populations grâce à une diminution des dépenses militaires partout dans le monde.
A Paris, le 17 septembre 2021
Le Mouvement de la Paix
Bonjour
Dans le sixième paragraphe, il me semble qu’il y ait erreur sur la personne : Trump ne devrait plus avoir possibilité d’agir. Mais Biden oui.
Cela concernait le temps de la présidence Trump…