8 domaines de la Culture de Paix
Promouvoir la Paix par l’éducation : Culture de Paix et Communication Bienveillante….
Pour les 6 – 10 ans
« Max est agressé par deux garçons de sa classe et il a l’impression que tous ses amis se moquent de lui et le laissent tomber. Il devient alors agressif, des clans se forment et la situation s’aggrave. Une histoire pour comprendre qu’on a le droit de se défendre mais que la violence n’est pas une solution. » |
« Ce petit livre aborde avec tact et humour le sujet des disputes entre frère et sœur. Plein de bons sentiments. » |
Pour les 12 – 14 ans
« Personne ne comprend Bo Brewster. Et ça le met dans une rage… Pour avoir insulté son professeur d’anglais, il se retrouve avec la bande des irrécupérables dans le “groupe de la colère” du lycée. Alors, Bo se lance dans un triathlon infernal. Combien de coups peut-on encaisser sans s’écrouler définitivement ? Combien d’humiliations doit-on souffrir ? Et comment écouter les autres quand, soi-même, on se sent si peu entendu ? » |
Pour les adultes
« Parler d’éducation à la non-violence, c’est affirmer qu’il est possible d’apprendre aux enfants et aux adolescents des comportements non-violents qui leur permettent de construire le bien vivre ensemble dans tous leurs lieux de vie, en respectant les personnes, leurs différences, leurs droits et leur dignité. Il ne s’agit pas de nier les situations génératrices de conflits, mais d’apprendre à résoudre ces conflits sans violence, par l’acquisition de compétences personnelles, relationnelles, sociales et citoyennes qui leur donnent les moyens de le faire.” | |
« La paix est entre nos mains “! Pourtant, le monde est violent et inégalitaire. La peur de l’autre persiste. Les guerres sont encore et toujours actuelles. La Culture de paix, concept développé par l’UNESCO, est une réponse à cette négativité contemporaine. Faire naître l’espoir en chacun, enfant, adulte, parent, éducateur, enseignant, citoyen, susciter le désir d’entreprendre pour que vivre ensemble sur une même terre soit possible, tel est l’enjeu des pratiques décrites dans cet ouvrage. » |
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« La plupart d’entre nous avons été éduqués dans un esprit de compétition, de jugement, d’exigence et de pensée de ce qui est ” bon ” ou ” mauvais “. Au mieux, ces conditionnements peuvent conduire à une mauvaise compréhension des autres, au pire, ils provoquent colère ou frustration, et peuvent conduire à la violence. Une communication de qualité entre soi et les autres est aujourd’hui une des compétences les plus précieuses. » |
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« Cet ouvrage est un manuel d’accompagnement pour mieux comprendre et appliquer les outils de Marshall Rosenberg, mentalement, en paroles et en actions. Il propose au lecteur des exercices pratiques pour chaque chapitre des Mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs) et fournit des outils précieux pour appliquer la méthode de Communication Non Violente dans sa vie : faire face à la colère, résoudre les conflits, améliorer ses relations et les vivre dans une relation plus compassionnelle. » |
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« Comment un enfant, dont la curiosité semble insatiable, peut-il devenir un adolescent recherchant dans la violence envers autrui la satisfaction qu’il ne trouve plus à travers les apprentissages ou la rencontre avec les autres ? Pour répondre à cette question et aider réellement les jeunes, Daniel Favre montre d’abord comment fonctionne le cerveau dans toutes ses dimensions cognitive, mais aussi et surtout affective : comment s’enracinent les peurs, comment se fabriquent les besoins d’être le plus forts, d’obtenir un plaisir immédiat. » |
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« Des outils pédagogiques (règlements de vie, activités apaisantes,…) et des fiches méthodologiques détaillées de jeux de société et d’activités d’apprentissage coopératif afin de développer chez les enfants de 2 ½ ans à 12 ans, des comportements de solidarité et une éducation citoyenne. » |
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« Le conseil de coopération, c’est la réunion hebdomadaire de tous les enfants avec l’enseignante pour élaborer les règles de vie, planifier les projets collectifs et trouver des solutions aux problèmes de la classe. C’est un moyen de responsabiliser les enfants, de leur permettre de faire des apprentissages en français, en sciences humaines et en formation personnelle et sociale, et de les faire vivre dans un véritable climat de respect, de démocratie et de coopération. Un des effets à long terme est la réduction de la violence physique et verbale | |
« Lors de sa conférence donnée pendant le Congrès national regroupant les enseignants des écoles Montessori, Marshall a décrit les principes-clés de la Communication Non Violente en illustrant clairement la façon de les appliquer en classe : Développer des relations saines avec les enfants, rompre avec des schémas passés négatifs et créer de nouvelles structures sociales satisfaisantes pour tous. » | |
« Vous trouverez dans ce livre les quatre étapes essentielles pour que votre communication soit constructive, satisfaire les besoins de chacun de manière harmonieuse et égalitaire : observer sans juger, exprimer ses sentiments sans interpréter, parler de ses besoins sans passer tout de suite aux stratégies, demander ce dont on a besoin sans l’exiger. » | |
« Le non-violent appelle par des actions, des meetings ou des textes une nouvelle société. Mais celle-ci est avant tout en gestation intérieure. Par son action et surtout par la forme de son action, il cherche à l’actualiser, à lui donner vie. Face aux blocages, au conservatisme et à l’archaïsme de la réalité, c’est un accoucheur du futur. » | |
« Quand on évoque le mot “conflit”, on imagine facilement des situations de violence : agressions, situations sociales tendues ou même guerres entre pays… Il y a souvent confusion entre violence et conflit. Pourtant, le conflit fait partie de la vie. C’est le résultat de la confrontation des besoins, des intérêts ou des valeurs. » | |
« Cet ouvrage explique le comportement des enfants en situation de persécutions, les caractéristiques de l’auteur des brimades, du brimé bouc émissaire, des groupes qui constituent leurs entourages, ainsi que “les signaux” que chacun de ces groupes émet. » | |
« Que faire face à la violence des enfants ? Ce livre propose des outils pédagogiques pour transformer les conflits. Car le conflit ne va ni disparaître, ni être complètement résolu, mais il peut être transformé en une solution à laquelle on n’avait pas encore pensé. L’auteur présente une série d’activités pratiques réalisées avec des enfants entre 8 et 12 ans. » | |
« Ce livre fourmille de pistes concrètes pour sanctionner sans punir, trouver des alternatives à l’exclusion, aux gifles, aux punitions collectives, colles, mises au coin, privation de dessert ou de sortie… Il s’agit de chercher des réponses qui véhiculent le plus fidèlement possible le sens porté par la règle commune et qui, en même temps, manifestent à l’enfant, au jeune le respect scrupuleux de sa personne et du citoyen qu’il est en train de devenir. » | |
« Que ce soit autour du bébé, de l’adolescent, de l’adulte ou de la personne vieillissante, des paroles, des gestes, des attitudes blessantes parasitent nos relations. “Les douces Violences” semblent envahir notre vie… Chaque bande dessinée a pour but d’interpeller notre bon sens. Ce livre tendre et profond touche notre histoire, parce qu’il est tiré d’un quotidien… apparemment sans histoire. » | |
« Comment organiser les apprentissages pour que les élèves apprennent et s’apprennent les uns des autres en coopérant dans le travail ? La pédagogie coopérative implique les partenaires autour d’un objectif de travail ou d’apprentissage pour des échanges et des intelligences collectives. Elle donne aux élèves des outils de progression, de responsabilisation et de compréhension de leurs apprentissages en équipe. Apprendre à travailler avec les autres, c’est apprendre sur soi et grandir avec les autres. Il y a, dans cette approche active, interactive et basée sur le respect de chaque personne, une vraie manière de (re) motiver le travail scolaire en le reliant à la vie sociale du groupe, aux richesses de chacun, aux interactions entre pairs et, indirectement, aux interactions extra scolaires de l’élève. » | |
« A l’école ou au travail, la compétition joue un rôle majeur dans notre vie.(…)Tous les types de jeux ont leur place, mais l’équilibre entre la coopération et la compétition doit être plus grand.(…) Cet ouvrage propose donc de pratiquer la coopération en s’amusant. Il regroupe plus de 300 jeux et sports coopératifs, sans perdants ni gagnants. Leur but est de développer la confiance en soi, le respect de l’autre, la cohésion du groupe et la solidarité. Ce livre s’adresse aux enseignants mais aussi aux parents et à toute personne travaillant avec des enfants à partir de l’âge de 3 ans. » |
Promouvoir la Paix et la Sécurité Internationale
Pour les adultes
« Marshall Rosenberg a inventé et développé la Communication Non-Violente (CNV) grâce, entre autres, à une méditation approfondie des épreuves, souvent douloureuses, qui ont jalonné son existence. A l’âge de neuf ans, il subissait les vexations de ses petits camarades ; bien que blessé profondément, il avait aussi observé combien son oncle irradiait de joie, même lorsqu’il consacrait son temps à aider sa mère en fin de vie. Le mystère de ces deux sortes d’êtres humains, de ces deux façons d’être au monde l’a taraudé toute sa vie. Père de famille, il testait déjà les premiers principes de la CNV, qu’il utiliserait plus tard pour développer des écoles-girafes et pour devenir médiateur au sein de conflits internationaux graves (Israël/Palestine, Rwanda, etc.) » |
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« Sous le nom d’intervention humanitaire, droit d’ingérence ou responsabilité de protéger, l’intervention militaire justifiée par des raisons humanitaires est l’une des questions les plus brûlantes des relations internationales. S’appuyant sur de nombreux exemples et reprenant cinq critères de la doctrine de la guerre juste (cause juste, autorité légitime, bonne intention, dernier recours et proportionnalité, Jean-Baptiste, philosophe et juriste, chercheur en droit international, élabore une théorie réaliste de l’intervention. » |
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« Aujourd’hui, les crises dites « humanitaires » et les guerres dites « préventives » ont replacé aux cœur des débats internationaux la problématique d’un interventionnisme en quête de légitimation éthique ou juridique… L’organisation de la charité se substitue-t-elle aux programmes de développement ? L’ingérence humanitaire ne trahit-elle pas un aveu d’échec converti en urgence ? Et pour quels effets et résultats en termes de durabilité et de reconstruction démocratique égalitaire ? » | |
« Historienne, Anne Morelli systématise dans cet ouvrage les mécanismes révélés par Arthur Ponsonby, pacifiste britannique hostile à l’entrée en guerre de la Grande-Bretagne en 1914. Dans chacun des dix chapitres, elle s’attache à démontrer que ces « ficelles » ont également été utilisées par les parties en présence lors de conflits parmi les plus récents. » | |
« La Charte, à la base de la création de l’ONU en 1945, est un texte éminemment novateur, fondateur du Droit international contemporain. Méconnus, souvent travestis et allègrement bafoués, les principes de la Charte sont pourtant vitaux pour la préservation de la paix et une condition indispensable à toute avancée dans la démocratisation des sociétés et des relations internationales. » | |
« Soulevé dès le début du XX ème siècle, ce vieux débat revient au premier plan de l’actualité. Et pour cause : plus de six décennies après le plan de partage de la Palestine (1947), … Israël continue de coloniser la Palestine mandataire. Autrement dit, ni la lutte armée ni le combat politico-diplomatique n’ont réussi à réaliser l’autodétermination du peuple palestinien. Neuf spécialistes s’efforcent de clarifier les enjeux de ce débat dans cet ouvrage collectif qui en approfondit toutes les dimensions : juridiques, démographiques, économiques, politiques et diplomatiques. » | |
« Crise de l’euro et des dettes souveraines, occupations qui s’éternisent en Afghanistan ou en Palestine, restrictions des libertés liées à la lutte antiterroriste, corruption des élites, soulèvements des peuples : comment comprendre ce sombre panorama des premières années du XXI ème siècle ? Comment expliquer que les États et l’ONU ne parviennent pas à enrayer cette spirale de désordres ? Dans cet essai ambitieux, Alain Joxe répond à ces questions en analysant toutes les dimensions de l’empire global du néolibéralisme. » | |
« Le débat public étant confisqué, Pierre Villard revendique le droit à la transparence pour tous les citoyens. Il dresse un états des lieux des dispositions de chaque pays, des dangers encourus par tous les peuples et, enfin, aborde la manière d’éliminer les armes nucléaires et le contrôle de leur élimination. D’après la 4ème de couverture.» | |
« Dans le discours officiel, l’arme nucléaire est présentée comme « l’ultime garantie de notre sécurité », garante de l’indépendance nationale » ou encore notre « assurance-vie ». Ce discours lénifiant masque une réalité totalement différente, sur laquelle l’arme nucléaire n’a plus de prise. Démontrer que celles-ci n’a plus la même pertinence face aux défis du monde actuel, dénoncer la désinformation, briser l’ »omerta » sur ce sujet : autant de thèmes abordés dans ce livre, pour que s’ouvre enfin un débat fondamental à notre stratégie de sécurité, mais aussi pour la survie de l’humanité. D’après la 4ème de couverture. » | |
« Cet ouvrage, vivant et didactique, décrypte les rouages de la situation nucléaire internationale : de cinq puissances officielles aux acteurs de la prolifération, des politiques d’emploi et risques d’accidents aux enjeux du désarmement, de la fabrication de la bombe à ses effets dévastateurs… Il nous montre comment cette arme absolue a imprégné durablement les politiques et stratégies de défense des pays qui la possèdent, jusqu’à devenir un dogme qu’il sera bien difficile de remettre en cause. » | |
« Aujourd’hui, les « transferts d’armements » assurent des centaines de milliers d’emplois dans les pays vendeurs, généralement au Nord. Dans les pays acheteurs, le plus souvent au Sud, les armes servent à dissuader des adversaires potentiels ou à conduire des guerres. Et à enrichir les élites… Car les contrats de ventes d’armes donnent traditionnellement lieu à des commissions occultes considérables… A l ‘heure où les institutions internationales prétendent « moraliser » ces marchés, ce livre montre l’ingéniosité dont font preuve les « marchands de canons » pour renouveler des méthodes de corruption vieilles comme le monde… » | |
« 500 000 morts par an, une victime par minute : c’est le lourd tribut payé chaque année aux armes légères… Dans les pays en proie à la guerre, elles sont omniprésentes. A la portée de tous, elles font d’énormes ravages, ce qui a amené Kofi Annan à les qualifier « d’armes de destruction massive ». Selon de récentes estimations, il y aurait quelques 640 millions d’armes légères de par le monde… Ce livre didactique fait le tour de la question des armes légères… depuis leur origine jusqu’aux destinataires -notamment les réseaux terroristes -, en passant par les techniques des trafiquants, les lacunes des législations et les impacts sur le terrain… Nous sommes tous concernés. » | |
« Amnesty International dresse ici l’état des lieux des violence liées à ce commerce irresponsable, des favelas de Rio de Janeiro à l’Irak en passant par le Nigéria, que les armes soient aux mains des policiers, d’enfants-soldats ou de mercenaires. Depuis 2003, l’organisation a mené avec plusieurs ONG une ambitieuse campagne pour parvenir à l’élaboration par les Nations Unies d’un traité international sur le commerce des armes. Ce combat, qui pouvait sembler perdu d’avance, passe a abouti en 2012. » |


