Ce colloque dont nous avions décidé le principe en 2019, a été préparé à travers 4 réunions de travail communes ; Sa tenue a dû être retardée, en particulier à cause du Covid, mais aussi avec des imprévus comme les travaux engagés pour la rénovation comité économique social et environnemental (CESER) lieu où nous souhaitions initialement faire ce colloque.
Au total, plus d’une centaine de participants se sont réunis dans les locaux de la confédération CGT ce 5 octobre 2022. La journée a été organisée autour de trois tables rondes introduites au total par 12 interventions préliminaires, une cinquantaine d’interventions toutes aussi intéressantes les unes que les autres dans la salle.
De nombreux secteurs professionnels dans le public composé majoritairement de militants de la CGT (issus de chez Thalès, Dassault, Giat,..), mais aussi des militants du Mouvement de la Paix de Bretagne, Normandie, pays de la Loire, région centre val de Loire, Aquitaine, Ile de France etc, mais aussi des économistes, des universitaires dont Bertrand Badie (voir son interview plus bas), professeur émérite à Sciences-po qui a ouvert la journée par un intervention filmée préalablement car il devait ce jour là présenter son dernier livre dans les médias nationaux.
Un dossier des participants au colloque nourri de nombreux documents dont des documents communs CGT – Mouvement de la paix, mais aussi des documents relatifs à la culture de la paix, aux objectifs de développement durable, aux repères revendicatifs de la CGT, au conflits actuel en Ukraine et diverses déclarations pour dénoncer la culture de la guerre ou la nécessité d’éliminer les armes nucléaires et bien sûr la pétition du collectif des marches pour la ratification du TIAN. Une diversité d’organisations avec non seulement la CGT avec la représentation de plusieurs fédérations nationales et de plusieurs responsables confédéraux, mais aussi des associations comme Ican, l’Observatoire des armements, Afcdrp, l’Association internationale des éducateurs à la paix, l’association sécurité éthique républicaines (ASER), Idrp, un ancien directeur de la Culture de la Paix à l’Unesco.
Et surtout une atmosphère de travail studieuse, respectueuse et marquée par la volonté d’avancer et de poursuivre le travail déjà entamé lors de l’écriture du Livre Blanc de la Paix.
il y a réellement un travail de partenariat possible pour proposer des alternatives à travers une véritable filière d’activités pour la paix mais aussi de travail pour des reconversions réussies.
Les actes du colloque seront finalisés dans les prochaines semaines.
Amicalement,
Le secrétariat national


